Sarah Grandjean
Née à Thionville et vit à Metz. L’itinérance et les pensées collectives font partie intégrante du chemin qu’elle tisse. Elle entreprend la danse comme un terrain d’action pour se mouvoir, percevoir et tenter de comprendre le monde ou plutôt de résonner en lui.
Elle étudie la sociologie, les arts, la culture à l’Université de Lorraine et se forme en danse contemporaine au Conservatoire à Rayonnement Régional de Metz. Elle migre ensuite vers l’Institut Supérieur des Arts Chorégraphiques à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles.
Dans ses reflexions, ses socles et ses manières, il y a surtout le butoh - qu’elle pratique depuis une dizaine d’anneés avec Gyohei Zaitzu, Yumoki Yoshioka, Camille Mutel et Imre Thormann. Mais aussi, l’étude de la fasicathérapie en lien avec le mouvement, portée par Anja Röttgerkamp. Et puis le clown, de façon constante et souterraine.
Elle a travaillé pour le metteur en scène Ghislain Roussel, avec les chorégraphes Aurélie Gandit, Claire Hurpeau, Maïté Alvarez. Elle collabore régulierement avec la clown Valérie Kurek Armbruster, l’artiste plasticienne et performeuse Sophie Farza et bien d’autres allié.e.s...
Au fil des projets, la danse, la performance, les objets et l’imaginaire sont aussi questionnés au travers d’écoles, de collèges, de lycées agricole, d’asociations de quartier, de centres pénitentiers ou d’EHPAD.
Elle mène et co-mène des espaces qu’elle considère important pour pratiquer la danse.
Elle porte des recherches choregraphiques, joue, initie et construit des performances situées pour l’espace public, le milieu rural ou tout autre espace non dédié.
C’est seulement parfois, des spectacles.
Avec sa coéquipière Nathalie Bonafé, elle co-fonde demeure drue pour structurer et oeuvrer. En parrallèle , elle s’ancre dans des travaux auprès de Laure Terrier chez Jeanne Simone.
Née à Thionville et vit à Metz. L’itinérance et les pensées collectives font partie intégrante du chemin qu’elle tisse. Elle entreprend la danse comme un terrain d’action pour se mouvoir, percevoir et tenter de comprendre le monde ou plutôt de résonner en lui.
Elle étudie la sociologie, les arts, la culture à l’Université de Lorraine et se forme en danse contemporaine au Conservatoire à Rayonnement Régional de Metz. Elle migre ensuite vers l’Institut Supérieur des Arts Chorégraphiques à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles.
Dans ses reflexions, ses socles et ses manières, il y a surtout le butoh - qu’elle pratique depuis une dizaine d’anneés avec Gyohei Zaitzu, Yumoki Yoshioka, Camille Mutel et Imre Thormann. Mais aussi, l’étude de la fasicathérapie en lien avec le mouvement, portée par Anja Röttgerkamp. Et puis le clown, de façon constante et souterraine.
Elle a travaillé pour le metteur en scène Ghislain Roussel, avec les chorégraphes Aurélie Gandit, Claire Hurpeau, Maïté Alvarez. Elle collabore régulierement avec la clown Valérie Kurek Armbruster, l’artiste plasticienne et performeuse Sophie Farza et bien d’autres allié.e.s...
Au fil des projets, la danse, la performance, les objets et l’imaginaire sont aussi questionnés au travers d’écoles, de collèges, de lycées agricole, d’asociations de quartier, de centres pénitentiers ou d’EHPAD.
Elle mène et co-mène des espaces qu’elle considère important pour pratiquer la danse.
Elle porte des recherches choregraphiques, joue, initie et construit des performances situées pour l’espace public, le milieu rural ou tout autre espace non dédié.
C’est seulement parfois, des spectacles.
Avec sa coéquipière Nathalie Bonafé, elle co-fonde demeure drue pour structurer et oeuvrer. En parrallèle , elle s’ancre dans des travaux auprès de Laure Terrier chez Jeanne Simone.
