Nathalie Bonafé
Chorégraphe, danseuse, praticienne Feldenkrais et illustratrice, Nathalie a étudié la conception de projets culturels à l’Université de Lorraine et l’écriture scénique contemporaine à l’Université Lyon 2.
Depuis 2014, elle a travaillé avec plusieurs troupes en France et en Belgique lors d’interventions performatives pour l’espace public et de créations chorégraphiques in situ. Elle est également assistante de création pour la scène et co-fondatrice de la compagnie chorégraphique demeure drue.
Jusqu’en 2015, Nathalie exercice la profession de graphiste dans différentes structures. Elle notamment été encadrante technique spécialisée dans le domaine de l’illustration et de la sérigraphie en ESAT auprès de personnes en situation de souffrance psychique.
En parallèle et en continu, Nathalie se forme à différentes techniques et approches des arts de la scène, de la danse et du clown. Durant son parcours, elle reçoit notamment les enseignements de Frank Van de Ven, Brun Salvadore, Camille Mutel, Imre Thorman, Meytal Blanaru et rejoint les équipes artistiques de plusieurs compagnies.
De 2016 à 2018, elle a assisté Perrine Maurin pour la compagnie les patries imaginaires avec les créations de : décalages / paysages (2017), Archi/reconstruite (2018), Le problème sans nom : être mère (2017) ; ak 47 (2018).
En 2019, elle intègre la compagnie La Brèche - Aurélie Gandit devenue Cie Callicarpa comme assistante de création pour Le Tonnerre (2024), Les Visites Dansées au Musée (2022), Étude pour le cantique des cantiques (2021) et comme pédagogue pour les programmes d’atelier « les gestes qui relient » et « l’art au corps ».
Aujourd’hui, elle conserve une pratique d’illustratrice qu’elle met ponctuellement au service de projet connectés à sa recherche artistique. Elle fonde et soutient le festival des arts imprimés l’Enfer à Nancy de 2015 à 2022 et réalise l’identité graphique de la compagnie Mamaille. En 2023, avec la maison d’édition C’est en forgeant, elle illustre le premier écrit publié de Yohann Mehay Les papas ne piquent pas.
Avec demeure drue Nathalie initie des Rencontre Dansées dans différents établissements d’accueil spécialisés (MAS, EEP) ainsi qu’en EHPAD et répon à une invitation du FRAC Lorraine pour la Visite subjective de l’exposition d’Hanne Lippard (2021-22). Depuis lors, Nathalie danse pour Fleur (2021), danse et co-chorégraphie Les aperçues (2022), compose une recherche de fond ancrée dans le milieu psychiatrique nommée Lichen (2022).
En 2021, elle pose également les premiers jalons de Mobil, performance créée avec la complicité de l’artiste plasticienne Estelle Chrétien. Aujourd’hui, elle s’empare de cette amorce pour la développe comme figure principale d’un spectacle tout public à partir de 6 ans, en création à partir de 2024, sous le regard dramaturgique de l’écrivain public Yohann Mehay.
Par ailleurs, Nathalie intervient aussi bien au sein d’ateliers de création en lycée et pour le Théâtre Universitaire de Metz. Dans ce contexte elle écrit et met en scène « Silex » (2022, lauréat du concours CROUS 2023) et met en scène « Zone à étendre » (2023) de Mariette Navarro. Pour demeure drue, elle s’implique dans la réalisation et l’organisation de laboratoires de pratique en espace public « les appels à la danse sauvage » depuis 2020 et enseigne la prise de conscience par le mouvement en ateliers tout public depuis 2019.
Chorégraphe, danseuse, praticienne Feldenkrais et illustratrice, Nathalie a étudié la conception de projets culturels à l’Université de Lorraine et l’écriture scénique contemporaine à l’Université Lyon 2.
Depuis 2014, elle a travaillé avec plusieurs troupes en France et en Belgique lors d’interventions performatives pour l’espace public et de créations chorégraphiques in situ. Elle est également assistante de création pour la scène et co-fondatrice de la compagnie chorégraphique demeure drue.
Jusqu’en 2015, Nathalie exercice la profession de graphiste dans différentes structures. Elle notamment été encadrante technique spécialisée dans le domaine de l’illustration et de la sérigraphie en ESAT auprès de personnes en situation de souffrance psychique.
En parallèle et en continu, Nathalie se forme à différentes techniques et approches des arts de la scène, de la danse et du clown. Durant son parcours, elle reçoit notamment les enseignements de Frank Van de Ven, Brun Salvadore, Camille Mutel, Imre Thorman, Meytal Blanaru et rejoint les équipes artistiques de plusieurs compagnies.
De 2016 à 2018, elle a assisté Perrine Maurin pour la compagnie les patries imaginaires avec les créations de : décalages / paysages (2017), Archi/reconstruite (2018), Le problème sans nom : être mère (2017) ; ak 47 (2018).
En 2019, elle intègre la compagnie La Brèche - Aurélie Gandit devenue Cie Callicarpa comme assistante de création pour Le Tonnerre (2024), Les Visites Dansées au Musée (2022), Étude pour le cantique des cantiques (2021) et comme pédagogue pour les programmes d’atelier « les gestes qui relient » et « l’art au corps ».
Aujourd’hui, elle conserve une pratique d’illustratrice qu’elle met ponctuellement au service de projet connectés à sa recherche artistique. Elle fonde et soutient le festival des arts imprimés l’Enfer à Nancy de 2015 à 2022 et réalise l’identité graphique de la compagnie Mamaille. En 2023, avec la maison d’édition C’est en forgeant, elle illustre le premier écrit publié de Yohann Mehay Les papas ne piquent pas.
Avec demeure drue Nathalie initie des Rencontre Dansées dans différents établissements d’accueil spécialisés (MAS, EEP) ainsi qu’en EHPAD et répon à une invitation du FRAC Lorraine pour la Visite subjective de l’exposition d’Hanne Lippard (2021-22). Depuis lors, Nathalie danse pour Fleur (2021), danse et co-chorégraphie Les aperçues (2022), compose une recherche de fond ancrée dans le milieu psychiatrique nommée Lichen (2022).
En 2021, elle pose également les premiers jalons de Mobil, performance créée avec la complicité de l’artiste plasticienne Estelle Chrétien. Aujourd’hui, elle s’empare de cette amorce pour la développe comme figure principale d’un spectacle tout public à partir de 6 ans, en création à partir de 2024, sous le regard dramaturgique de l’écrivain public Yohann Mehay.
Par ailleurs, Nathalie intervient aussi bien au sein d’ateliers de création en lycée et pour le Théâtre Universitaire de Metz. Dans ce contexte elle écrit et met en scène « Silex » (2022, lauréat du concours CROUS 2023) et met en scène « Zone à étendre » (2023) de Mariette Navarro. Pour demeure drue, elle s’implique dans la réalisation et l’organisation de laboratoires de pratique en espace public « les appels à la danse sauvage » depuis 2020 et enseigne la prise de conscience par le mouvement en ateliers tout public depuis 2019.
